quotNetanyahou Premier ministre de lÉtat dIsraëlPalestinequot











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Abonnez-vous à notre chaîne sur YouTube : http://f24.my/youtube • En DIRECT - Suivez FRANCE 24 ici : http://f24.my/YTliveFR • Au menu de cette revue de presse internationale, jeudi 26 mai, la réintégration des ultranationalistes dans le gouvernement de Benyamin Netanyahou, la dérive autoritaire du régime égyptien, et une nouvelle polémique signée Pegida. • Le + : Recevez tous les matins la Revue de presse de France 24 sur votre iPhone ou sur tout autre mobile. Et également toujours sur votre PC en devenant fan sur Facebook… •   • On commence cette revue de presse internationale en Israël, où les ultranationalistes ont réintégré le gouvernement, hier. Leur chef de file, le député Avigdor Lieberman, devrait être nommé à la tête du ministère de la Défense. •   • L'attribution de telles responsabilités à un responsable politique connu pour ses prises de positions outrancières envers les Palestiniens, les Arabes israéliens et même certains États voisins de l’Etat hébreu, suscite des réactions inquiètes en Israël et à l'étranger - inquiètes et en même temps assez désabusées, voire fatalistes, selon Haaretz, qui livre ce constat: «Ne vous inquiétez pas. Oui, ça va aller. Oui, il y aura une guerre, écrit le journal de gauche. Si ce n’est pas pour cet été, ce sera pour le prochain printemps. Et cela n’a rien à voir avec le fait que Lieberman est en passe de devenir ministre de la Défense. C’est simplement la réalité de ces dix dernières années. Tous les deux ou trois ans en moyenne, on a la guerre, et ce, quel que soit le Premier ministre ou le ministre de la Défense, quel que soit le parti au pouvoir. Parce qu’aucune de ces guerres n’a amélioré d’un iota la situation qui les a justifiées, en 2016 ou en 2017, il y aura une autre guerre, sans aucun rapport avec Lieberman. Alors détendez-vous». D’après The Jerusalem Post, Benyamin Netanyahou aurait devancé ces critiques, en présentant le ralliement d’Yisraël Beiteinu, le parti de Lieberman, comme un moyen d’élargir sa majorité – ce qui lui permettrait d’«explorer tous les chemins pour parvenir à la paix», tandis que son futur ministre de la Défense promettait de mener une politique «responsable et raisonnable». Des engagements qui auraient fait apparaître les deux dirigeants «comme ces couples divorcés, où l’on tente désespérément de se montrer gentil l’un envers l’autre devant les enfants», selon le quotidien. •   • On est plus dubitatif du côté du New York Times, qui présente Netanyahou comme «quelqu’un qui pataugera toujours au milieu du Rubicon, qui ne se décidera jamais à le franchir, bien qu’il promette toujours de le faire («j’arrive, je vais prendre une décision») – tout ça pour rester là où il est, jouant à l’équilibriste au milieu de ses rivaux, de façon à être le seul à survivre». «En attendant, poursuit le journal, Israël s’enfonce toujours plus profondément dans un Etat de facto binational, contrôlé par les extrémistes juifs». The New York Times conclut: «Un jour où l’autre, ce journal devra désigner Netanyahou parce qu’il en est venu à être, le Premier ministre de l’État d’Israël-Palestine». •   • Direction à présent l’Egypte, à laquelle 13 des 28 États membres de l'UE, dont la France, continueraient de fournir des armes et des équipements pour le maintien de l’ordre. C’est ce que révèle le quotidien panarabe basé à Londres Al Quds Al Arabi, qui reprend un rapport publié hier par Amnesty International. L’ONG rappelle que ces transferts sont censés être suspendus depuis août 2013. A l’époque, cette suspension avait été décidée à la suite des violences commises par les forces de sécurité contre les manifestants. Une répression à laquelle continue de se livrer le régime présidé par Abdel Fatah Al-Sissi, selon Amnesty. Des révélations qui tombent mal, alors que «l’Etat de droit recule de jour en jour» dans le pays, relève La Croix, indigné par la façon dont son correspondant au Caire, Rémy Pigaglio, a été refoulé mardi sans aucune explication, après avoir été placé pendant 24 heures dans une zone de rétention de l’aéroport. •   • On termine avec la dernière polémique en date soulevée par Pegida, le mouvement anti-islam allemand. Des enfants de couleur figurant sur l'emballage de confiseries à la place des chères têtes blondes habituelles - voilà ce qui a déclenché le courroux de ses partisans. Une édifiante polémique, lue dans The Telegraph. •   • Retrouvez tous les matins sur France 24 la Revue de presse française (du lundi au vendredi, 6h23-7h10-10h40 heure de Paris) et la Revue de presse internationale (du lundi au vendred... Lire la suite sur notre site web. • Notre site : http://www.france24.com/fr/ • Rejoignez nous sur Facebook:   / france24.videos   • Suivez nous sur Twitter :   / f24videos  

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